Nos vies valent plus que leurs profits
Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

La lutte des classes n’a pas de passeport

En désignant les immigrés comme boucs émissaires, les politiciens cherchent à masquer leur responsabilité dans la baisse des salaires et les licenciements. Vouloir renforcer les frontières entre les travailleurs de différents pays revient directement à les renforcer entre travailleurs au sein d’une même usine.

Au contraire, nous voulons abattre ces frontières, en refusant de nous laisser diviser, quelle que soit notre nationalité. Plus qu’un combat humanitaire, la lutte commune contre l’exploitation et le cortège d’exclusions qui l’accompagne est le meilleur moyen de défendre ensemble nos intérêts.

 

 


 

 

Cet article est paru dans un dossier de Révolutionnaires no 21.

Sommaire du dossier