C’est le mois prochain, du 11 au 22 novembre, que va se tenir dans la capitale, Bakou, la prochaine conférence des Nations unies sur les changements climatiques (COP 29). Un choix qui s’imposait dans la mesure où le pays est un des champions de l’industrie pétrogazière qui représente environ la moitié de son PIB. Outre sa pollution tous azimuts, l’Azerbaïdjan est tenu d’une main de fer par un dictateur féroce, Ilham Aliyez, qui, ces derniers mois, a muselé et mis en prison tous les opposants qui pointaient du doigt le bilan carbone catastrophique du pays. Une répression dénoncée par des ONG comme Human Rights Watch et Freedom Now. Sûr qu’avec Aliyez et ses semblables, le climat est mal barré.