Intervenant à la Chambre des communes sur le projet de loi qui durcit les conditions d’accueil et de résidence des migrants, le leader de l’opposition travailliste, Keir Starmer, s’en est pris au gouvernement. Non pour critiquer ce nouveau texte législatif raciste mais en pointant du doigt l’incapacité des Conservateurs à empêcher l’entrée illégale de migrants et en se moquant du faible nombre de personnes expulsées du pays l’an dernier après s’être vues refuser le droit d’asile. Si demain le Labour Party revient au pouvoir, les migrants seront encore plus mal traités, plus méprisés et plus refoulés. Au moins ils sont prévenus.