Chanter des chants de la Commune (1871) ou qui donnent envie de manifester le 8 mars, manger un rougail saucisses ou végétarien, discuter de la lutte du peuple kanak contre l’État français, vibrer au récit mis en scène de la migration de Mamadou Samaké, voir une expo sur la grève des sardinières de Douarnenez, réfléchir à la période et aux combats à mener : voilà ce qu’on pouvait faire samedi 1er mars à Caen, à notre fête locale du NPA-R. Cerise sur le gâteau, la salle était bien remplie, puis franchement pleine. Des camarades (merci à celles et ceux venus d’autres villes nous aider !), des amis, mais pas seulement. Des curieux et curieuses, venus par le bouche-à-oreille, ont apprécié l’ambiance, au point pour quelques-uns de finir la soirée avec nous.
On réfléchit déjà à la prochaine édition !
Correspondant