Dans leur grande sagesse les sénateurs viennent de décider que désormais les industriels produisant ou utilisant des produits portant atteinte à la biodiversité n’encourront plus de peines de prison mais simplement des amendes. En droite ligne avec l’orientation prise récemment par la Commission européenne qui a décidé de mettre la pédale douce sur la protection de l’environnement. Et tant pis pour celles et ceux qui souffrent des pesticides, des insecticides ou de la pollution de l’eau potable. Il faudra faire avec. Priorité aux profits !