Les représentants américains ne se sont pas présentés à l’Examen périodique universel de leurs performances en matière de droits de l’homme, une structure mise en place en 2008 pour évaluer la situation des droits humains dans chaque pays. Les États-Unis avaient informé l’ONU de leur décision par une lettre adressée au Haut-Commissaire des Nations unies aux droits de l’homme, Volker Türk, soulignant notamment que le Conseil était « politisé ». Washington ne tenait pas à ce que ses représentants soient interrogés sur les violations sans nombre de libertés publiques commises par Trump et son administration. Depuis la création d’une telle structure, un seul pays l’avait boycotté en 2013… Israël, l’État sioniste étant peu désireux de s’expliquer sur l’apartheid qu’il pratiquait à l’égard des Palestiniens. Qui se ressemble…