Que sa santé soit en jeu pour qu’une femme puisse avorter, c’est abject. Qu’il faille qu’un juge décide ou non de l’autoriser, c’est abject. Que même là, la décision puisse être invalidée par une Cour suprême, c’est abject. Pourtant c’est bien la réalité pour Kate Cox, une Texane de 31 ans. Car dans cet État réac’, même le très réduit reliquat de droit à l’avortement n’est pas respecté.