Emmanuel Macron a tenu à faire savoir urbi et orbi qu’il avait appelé Netanyahou au téléphone pour lui faire connaitre « sa grande préoccupation » sur les « trop nombreuses pertes civiles » à Gaza et les « violences » en Cisjordanie. Et après ? Rien. Pas question d’imposer la moindre sanction à Israël pour sa politique meurtrière qui se poursuit à Gaza et ailleurs. D’ailleurs combien de morts seront nécessaires pour que le président appelle un chat un chat et le massacre de Gaza un crime de guerre ?