Friedrich Merz, le chef de la droite allemande et probable futur chancelier après la victoire de son parti aux législatives, a assuré que Netanyahou « pourrait se rendre » en Allemagne sans être inquiété, malgré le mandat d’arrêt lancé contre lui par la Cour pénale internationale pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité. Le Premier ministre israélien l’a aussitôt chaleureusement remercié. Après le hongrois Viktor Orbán l’an dernier, puis Emmanuel Macron et l’italienne Giorgia Meloni à sa suite, Merz rejoint les dirigeants européens qui s’assoient sur le droit international quand ça les arrange. Exactement comme Trump et Poutine…