À Marseille, la préfecture des Bouches-du-Rhône a voulu interdire la manifestation de soutien avec le peuple palestinien du samedi 9 décembre sous prétexte d’une incitation à la haine et à la violence. Cette interdiction a été levée après un référé-liberté déposé par les organisateurs. À Nice, c’est même la huitième fois que la préfecture se fait reprendre par la justice. Si Macron et Darmanin cherchaient à éteindre notre mobilisation, dont ils ne voulaient pas, c’est près d’un millier de manifestants qui ont réaffirmé leur soutien à Gaza. Et qui continueront quoi qu’en dise le gouvernement.