La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes a procédé en 2023 et 2024 à des contrôles auprès de 123 cliniques privées à but lucratif suite aux signalements de nombreux patients qui se plaignaient de se voir réclamer des milliers d’euros après des interventions. Les trois quarts des établissements contrôlés présentaient des anomalies, notamment une information insuffisante des patients et une facturation indue (notamment pour chambre particulière, Wifi, etc.), voire frauduleuse, de prestations. En résumé, elles se sucrent sur notre dos. À quand un grand service public national de santé, gratuit et sous le contrôle des assurés sociaux ?