À Bruxelles les scandales de corruption se suivent et se ressemblent. En 2022 plusieurs dizaines de parlementaires étaient mis en cause dans le « Qatargate », une opération de corruption lancée par la Qatar, le Maroc et la Mauritanie pour tenter de masquer les violations systématiques des droits humains qui avaient lieu dans ce pays. Cette fois c’est le groupe de télécommunications chinois Huawei qui est sur la sellette. Il aurait soudoyé une quinzaine de députés pour faciliter ses affaires. Plusieurs interpellations et une vingtaine de perquisitions ont eu lieu en Belgique et au Portugal. Ces euro-députés avaient trouvé le moyen de servir l’Europe tout en se servant au passage. Vieille rengaine…