Huit députés ont été contraints de démissionner du cabinet fantôme travailliste pour avoir voté à la Chambre des communes, avec 56 de leurs collègues sur 198, une résolution demandant « un cessez-le-feu » à Gaza. Cela a provoqué l’ire du leader du parti et chef de l’opposition, Keir Starmer, complètement aligné sur la ligne du gouvernement conservateur – fidèle soutien de Netanyahou – qui ne demande que « des pauses humanitaires ». Jusqu’alors il était difficile de voir ce qui distinguait le Labour Party, qui a de fortes chances de revenir aux affaires l’an prochain, des Tories sur le plan intérieur, mais il en va de même sur le plan international.