Pendant que défilaient sur les Champs-Élysées tous les engins de mort de l’armée française, à la tribune officielle, Macron prenait dans ses bras son grand ami du jour, le premier ministre indien Narendra Modi. Leader du parti d’extrême droite hindouiste, responsable de multiples pogroms contre les musulmans indiens, à la tête d’un régime qui réprime les grèves ou manifestations de paysans pauvres, il ne pouvait que se sentir dans son monde, aux côtés des Macron ou Darmanin. et de toute une brochette de galonnés de l’armée française, spécialistes des guerres en Afrique pour les intérêts de Bouygues, Bolloré ou Total. Surtout qu’il était venu acheter 26 nouveaux avions Rafale et 3 sous-marins. Ça vaut bien les honneurs de la république.